Vous soigner autrement
La Méditation
L'effet Maharishi
Si 1% de la population mondiale se mettait à méditer, l'humanité s'en porterait globalement mieux.
Il l'avait extrapolé à partir d'un fait scientifiquement prouvé : si l'on attire 1% de limaille de fer avec un aimant, le reste suit le mouvement. Ruppert Sheldrake essaie aussi de le démontrer avec ses "champs morphiques".
Tous les deux essaient d'expliquer rationnellement ce que nous percevons tous intuitivement. Les personnes qui ressentent une paix intérieure émettent un rayonnement pacifique qui exerce une influence sur leur environnement. Que cela concerne ou non 1% de la population, cela n'a pas de réélle importance. Mais si beaucoup de gens se mettent à méditer, le monde sera plus paisible.
Paul Wilson
Est-ce que méditer signifie qu’il faut arrêter de penser ?
C’est ce que croient beaucoup de gens. Mais c’est impossible. Tout le monde pense constamment. Si on ne pense plus, c’est qu’on est mort. Ce qui compte, c’est de ne pas se perdre dans ses pensées. Il faut les laisser passer comme si c’était des gens en passant devant votre fenêtre. Vous ne vous précipitez pas dehors pour les arrêter ou les invités à entrer ; vous les laissez simplement passer. Entre le moment où vous passez de votre état de penser et veiller à un état méditatif pour traverser une cour de phase de transition pendant laquelle vous êtes agitée, vous regardez votre montre, vous changer de position, vous avez des crampes ou des démangeaisons et vous vous demander si vous vous y prenez correctement. Durant cette phase, peuvent également surgir des émotions de la tristesse. Mais c’est une phase transitoire : persévérer cela va passer.
La méditation quand on débute : comment ?
1. Suivez votre respiration
2. Répétez un mantra
3.Regardez une flamme
4. Voyagez dans le corps
La méditation quand on devient un pratiquant régulier.
1. Répétez un mantra
2. Regardez une flamme
3. Voyagez dans le corps en plaçant sa conscience dans le coeur, dans le ventre, dans l'esprit
Entreprendre un travail spirituel
Permettez-moi de prendre juste un instant pour vous rappeler ce que veut dire entreprendre un chemin spirituel, c’est à dire encore, entreprendre un travail spirituel. Entreprendre un travail spirituel nécessite au-dedans de vous quelque chose de l’ordre d’une pure volonté de grandir. Il n’est pas question de compréhension métaphysique, il n’est pas question de compréhension ésotérique, il n’est pas question de connaissances ou d’expériences ou de vécus, il n‘est pas question de prises de conscience en tant que telles. Il est question d’une chose infiniment simple, une chose extrêmement simple au-dedans de vous : avoir la volonté de grandir, même si vous ignorez comment définir votre véritable identité, même si vous ignorez en quels termes définir le fait de grandir, même si vous ignorez quelle teneur pratique, concrète, donner à votre travail intérieur pour grandir. L’étincelle, c’est la volonté de grandir…la volonté de grandir. C’est en chemin que vous comprenez véritablement ce que veut dire grandir. C’est en chemin, c'est-à-dire c’est au fil de vos efforts, c’est au fil de vos tentatives d’efforts, c’est dans le fil, dans le courant de la permanence de votre intention de grandir, du renouvellement constant de votre volonté de grandir, c’est dans le courant de tout cela que les choses éclosent en terme de compréhension, que les choses fleurissent en terme de compréhension, que les choses se déploient en terme de compréhension, d’expérience, de vécu et d’intégration. Mais il suffit de l’étincelle de base, et il suffit de maintenir constante l’intention de grandir et de renouveler chaque jour la volonté de grandir. Vous êtes au cœur même de ce que signifie le travail spirituel quand « je veux grandir » est votre affirmation la plus profonde, quand « je désire grandir », quand « j’aspire à grandir » est votre élan le plus profond, quand « j’aspire à grandir est votre vœu le plus profond, votre souhait le plus profond. Par cela même, vous êtes déjà, pas seulement déjà, vous êtes au cœur du travail spirituel. En faisant vibrer chaque jour votre intention de grandir, votre désir de grandir, votre volonté de grandir, vous allez trouver au fil du temps les outils dont vous avez besoin, l‘aide ou les aides dont vous avez besoin et surtout toute la lumière dont vous avez besoin. La volonté de grandir. C’est en chemin que vous comprenez ce qui, en vous, quelle essence de votre être aspire ainsi à grandir.
Il y a, au principe de l’être que vous êtes, une force intérieure, une force qui est intelligence, qui est créativité, qui est imagination, qui est puissance de construction, qui est puissance de régénération…il y a au-dedans de vous une force de lumière qui aspire à grandir, il y a au-dedans de vous une force qui est volonté de lumière, qui est volonté d’amour, qui est volonté de joie et encore une force qui est capacité de détermination, capacité de persévérance, capacité de joie, capacité d’amour, capacité de lumière, capacité de vie. Il y a au-dedans de vous une véritable force spirituelle. On peut encore la nommer, si on n’a pas peur des mots, une véritable force divine. Divin veut dire vivant en réalité. N’ayez jamais peur des mots. Chaque mot désigne une réalité, la réalité dépasse le mot et le mot ne fait que désigner la réalité. Quand un mot vous semble incompréhensible, recourez à un mot différent mais cherchez la réalité dans son sublime, dans son splendide, dans sa merveille, c’est à dire la réalité telle qu’elle est véritablement en son essence : un mystère de vie, un mystère d’énergie, un mystère de force, un mystère de puissance, un mystère de lumière, voilà ce qu’est la réalité. Et votre réalité intérieure est intégralement cela, une puissance de vie au-dedans de vous, une puissance de lumière au-dedans de vous, une force, une intelligence, une volonté, une énergie, une vibration constante au-dedans de vous, une puissance de vie au-dedans de vous, voilà quelle est votre réalité intrinsèque. Ne restez pas à la surface de votre être. Ne restez pas à la seule réalité transitoire de vos pensées, la seule réalité transitoire de vos émotions, au seul éphémère, au seul transitoire, au seul impermanent, au seul passager de votre corps, de votre émotionnel, de votre mental. Cherchez la réalité intrinsèque qui vit au-dedans de vous, cherchez la puissance de vie qui vibre au-dedans de votre être, c’est cela qui doit grandir au-dedans de vous. Dans votre travail spirituel, qui est le véritable travail de croissance intérieure, de croissance essentielle, de croissance fondamentale, dans votre travail spirituel, deux choses vous sont nécessaires, et les deux choses existent d’emblée au-dedans de vous comme intelligence intrinsèque, comme intelligence naturelle, comme intelligence que l’on pourrait même dire instinctive, intrinsèque à votre essence.
Deux choses vous sont nécessaires …. Auteur : CNA
La spiritualité du Coeur
Cela peut paraître étrange de spécifier ainsi un type de spiritualité… La raison pour laquelle il est important de spécifier de quel type de spiritualité on traite, c'est que la notion de spiritualité signifie, de façon globale, l'idée selon laquelle il est possible d'engager certaines lignes de pratique et d'intégrer certaines lignes d'enseignement avec la perspective que ces lignes de pratique et ces lignes d'enseignement puissent produire, au-dedans de soi, le développement d'un aspect ou d'un autre de l'esprit que nous sommes, c'est-à-dire de l'être spirituel, de l'essence spirituelle que nous sommes.
Quand on comprend les choses de cette façon-là, cela nous rend beaucoup plus tolérants en réalité devant la diversité des voies spirituelles et aussi des pratiques spirituelles que l'on peut rencontrer notamment au sein de l'humanité. Je pense que si l'on avait aussi la possibilité de connaître et donc d'être familier des autres vies intelligentes qui se déploient ici et là dans l'immensité de l'espace et du cosmos, je pense que l'on verrait encore plus nettement cette notion de diversité dans les manières de spiritualité et donc dans les manières de pratique spirituelle et dans les manières d'enseignement spirituel.
Ceci étant, il y a une conception de l'esprit qui est, peut-être, un peu différente des autres, parce qu'elle regarde à un endroit différent de l'endroit, ou des endroits, sur lesquels se concentrent les autres conceptions de la spiritualité. Sans être méprisant envers les autres voies spirituelles, je dirais que ce qui distingue la voie du cœur d'avec les autres voies, c'est que dans la voie du cœur, on considère que certes, l'esprit que nous sommes, présente une richesse vertigineuse de diversité d'aspects, de propriétés, de caractéristiques et de qualités et de capacités, donc, autant l'esprit présente une telle diversité, autant dans le même temps l'esprit que nous sommes est un système vivant qui possède un cœur, qui possède un noyau, qui possède un soleil qui, lui, est central.
Si on imagine que l'esprit, c'est quelque chose d'indéfinissable dont on approche la compréhension à travers l'examen ou à travers l'étude de ses capacités, de ses caractéristiques, de ses propriétés et de ses qualités, alors on peut parvenir à une conception des choses qui, en quelque sorte, va en reconnaître la légitimité des diversités des approches spirituelles et des pratiques spirituelles. Mais dans la voie du cœur, on considère que la constellation des qualités de l'esprit, de ses attributs, de ses capacités et de ses caractéristiques, la constellation de tout cela, gravite autour d'un principe central. Un principe à partir duquel émane toute la vie qui va irriguer l'esprit, toute la lumière qui va éclairer l'esprit et toute l'énergie qui va dynamiser et galvaniser l'esprit.
Quand on prend n'importe quelle voie spirituelle, quand on prend n'importe quelle dynamique de sagesse spirituelle, de pratique spirituelle et d'enseignement spirituel et quand on interroge les niveaux les plus élevés de quelque enseignement spirituel que ce soit, on aboutit toujours au constat suivant. Chaque voie spirituelle, une fois qu'elle sera parvenue à la maturité de ses conceptions, de ses considérations et de ses compréhensions, va aboutir à la conclusion que l'Amour est la plus haute des valeurs, la plus haute des qualités et le plus élevé des attributs de l'être que nous sommes.
Toutes les voies spirituelles, quand on interroge leur niveau le plus raffiné de considération, de conception et de compréhension, pointent toujours vers la primauté de l'Amour. L'Amour, c'est la chose qu'il faut rechercher au-dessus de toutes les autres. L'Amour, c'est la chose qu'il faut incarner en primat de toutes les autres, c'est-à-dire avant toutes les autres choses. L'Amour, c'est la chose qu'il faut partager avant toutes les autres.
Donc, on peut constater que malgré leurs diversités, leurs divergences apparentes, toutes les voies spirituelles finissent toujours par indiquer d'une manière ou d'une autre la primauté de l'Amour comme étant le faîte de leurs cheminements, comme étant le terme de leurs développements, comme étant l'objectif de leurs aspirations.
Le constat de cela, nous permet de comprendre qu'il y a de fortes raisons de penser que la conception de la voie du cœur, qui pose le centre de l'amour comme étant le cœur même de l'être divin, comme étant le principe central de l'être divin et parce que toutes les voies pointent vers l'amour, on peut considérer que la voie du cœur a tout à fait raison dans ses prémisses de base, dans son postulat et pour le dire en termes très modestes : dans sa prétention à montrer le centre de l'amour, c'est-à-dire le cœur, comme étant le principe central de l'être divin.
Et donc, la voie du cœur, c'est non seulement une voie parmi plusieurs autres, qui a la prétention de désigner directement l'essentiel, mais la voie du cœur, c'est aussi ce que devient une voie spirituelle quelle qu'elle soit, quand elle parvient à un certain degré de maturité.
Il y a trois dynamiques fondamentales qui permettent, quand on les met en œuvre, d'avancer, de progresser de façon fondamentale sur la voie du cœur…
Auteur : CNA
Un esprit Fort
Il est très important de faire un travail qui va permettre à l’esprit, donc à notre puissance de penser, de réfléchir, de comprendre, de vouloir.., d’être capable de tenir debout dans le contexte de l’incarnation. S’intéresser à un travail purement essentiel, avec un esprit trop endommagé, ou trop affaibli, ou trop distendu, ou trop dysfonctionnel, ce n’est pas du tout pertinent.
Il faut que l’esprit soit en bonne condition pour que la personne soit capable de s’intéresser à un travail beaucoup plus essentiel, avec un certain bénéfice, et le mot n’est pas le plus juste mais, il existe vraiment un certain bénéfice.
C’est vrai que la chose la plus importante, c’est que l’on puisse consacrer quasiment toute notre incarnation à travailler dans le cœur, c’est-à-dire à approfondir tout ce que l’on pourra approfondir dans le fait de, stimuler, approfondir, développer, le cœur et toutes ses dimensions internes. Sauf que lorsque nous sommes en incarnation, on ne peut pas faire l’économie d’avoir besoin des ressources de l’esprit, et donc des ressources de la puissance de pensée, de compréhension, de la puissance d’intention, des choses comme cela, pour pouvoir non seulement vivre mais aussi aller à l’essentiel.
Si je suis encore emporté par des émotions, par des sentiments, par des inerties de comportement...si j’ai encore beaucoup de mal à maîtriser le cours de mes pensées, à avoir de la clarté dans mon esprit, à avoir, dans mon émotionnel, de la sérénité et, par rapport aux choses, une saine distance émotionnelle, alors cela signifie que je ne suis pas libre de la matrice de mon champ psychologique. Cela signifie que je dois encore faire un certain travail pour pouvoir me rendre invulnérable au pouvoir attractif, au pouvoir entrainant des mouvements de mon champ psychologique.
Et...je suis l’esprit... c’est-à-dire, qu’au centre de la matrice psychique, ce qui est emprisonné : C’est l’esprit que je suis.
Dans l’enseignement essentiel, l’esprit c’est l’extension de travail immédiate qui émane du cœur. L’esprit c’est quelque chose qui appartient au cœur de façon substantielle, mais qui est l’extension de travail du cœur.
Donc l’esprit est en quelque sorte piégé dans la matrice Psychologique. Tant que la complexion humaine, dans son inertie, l’emporte sur l’impulsion du cœur, quelque chose en nous est comme emprisonné, comme dominé par le poids de l’incarnation. Et se libérer de la matrice psychologique, c’est renverser le rapport de force entre l’impulsion qui émane du cœur et l’inertie qu’oppose le champ psychologique.
Et il y a deux façons de de vaincre la matrice psychologique, et de se libérer de sa domination. Et entre les deux types de solutions, l’une est beaucoup plus accessible que l’autre...
Auteur : CNA
Les maux de l'esprit : les techniques pour s'en sortir
La technique EFT
L'EFT (Emotional Freedom Techniques) Techniques de liberté émotionnelle
On pourrait dire que l'EFT est une forme d'acupression pour libérer les émotions négatives. C'est une méthode rapide, efficace, amusante et facile à apprendre qui donne des résultats de longue durée,même permanents et, apporte souvent un soulagement là où d'autres thérapies ont échoué.
Cette méthode est utile pour toutes les émotions négatives telles que : tristesse, peur, phobie, colère, dégoût, honte, anxiété, culpabilité, etc..., et peut également aider à résoudre les problèmes physiques : douleurs, maigreur, obésité, mauvaise image de soi, etc...ou à vous défaire de certaines manies : tabagisme, envies compulsives, se laver les mains souvent, bégaiement, etc
L'EFT, comment ça marche ?
Il s'agit de tapoter ou de frotter doucement certains points spécifiques situés sur nos méridiens.
En tapotant ainsi tout en pensant à ce qui nous dérange, on équilibre les méridiens perturbés.
Vous conservez la mémoire de l'évènement qui vous a dérangé, mais n'en ressentez plus la charge émotive qui l'accompagnait.
C'est dire comme cette méthode peut trouver de nombreuses utilisations.
Les enfants l'adorent car elle les aide à gérer de nombreux petits maux au quotidien : peurs ou phobies( du noir, des araignées, de l'école...), colères, moqueries, anxiété de séparation, pipi au lit.. Son efficacité est sans pareil pour se débarrasser des craintes , peurs et phobies et d'une rapidité époustouflante.
La technique EMDR
L'EMDR signifie Eye Movement Desensitization and Reprocessing c’est-à-dire désensibilisation et retraitement par les mouvements oculaires.
Francine Shapiro, Ph.D., psychologue américaine résidant en Californie, actuellement Senior Research Fellow du Menlo Park Research Institute – l’École de Palo Alto -, a trouvé par hasard en 1987 un moyen très simple de stimuler un mécanisme neuropsychologique complexe présent en chacun de nous, qui permet de retraiter des vécus traumatiques non digérés à l’origine de divers symptômes, parfois très invalidants. On peut ainsi soigner des séquelles post-traumatiques même de nombreuses années après.
Les symptômes du trouble de stress post-traumatique
Majoritairement les perturbations s’expriment sous forme d’irritabilité, angoisses, cauchemars, reviviscences et ruminations à propos du vécu traumatique, tendance à l’isolement, état dépressif, comportement agité voire violent, douleurs physiques, somatisations, régression et/ou répétition des violences chez l’enfant, …
La chronicisation du trouble peut entraîner dépression, addictions, trouble du comportement alimentaire, attaques de panique, phobies, …
Un processus de traitement conscient
Les souvenirs perturbants identifiés sont ensuite retraités, un à un, lors des séances, à l’aide des stimulations bilatérales alternées. Il faut parfois plusieurs séances pour traiter un seul souvenir. Pour les enfants, selon leur âge, le traitement EMDR peut se faire en présence de leurs parents.
Le processus psychique de traitement activé par la méthode est un processus conscient. Il correspond à ce que fait naturellement notre cerveau quand il ne se bloque pas.
Au début, le praticien demande au patient de se concentrer sur le souvenir traumatique, en gardant à l’esprit les aspects sensoriels les plus perturbants (image, son, odeur, sensation physique), ainsi que les pensées et ressentis actuels négatifs qui y sont associés.
Le praticien pratique alors des séries de stimulations bilatérales alternées rapides; entre chaque série, le patient dit ce qui lui vient à l’esprit ; il n’y a aucun effort à faire pendant la stimulation pour obtenir tel ou tel type de résultat, l’évènement se retraite spontanément et différemment pour chaque personne selon son vécu, sa personnalité, ses ressources, sa culture.
Le praticien continue les stimulations jusqu’à ce que le souvenir ne génère plus de perturbations mais soit mis à distance, « effacé », ait perdu sa vivacité. Ensuite, toujours avec des stimulations bilatérales alternées rapides, il aide le patient à associer à ce souvenir une pensée positive, constructive, pacifiante, et à évacuer d’éventuels restes physiques désagréables.
Une séance d’EMDR dure de 60 à 90 mn, pendant laquelle le patient peut traverser des émotions intenses, et en fin de séance, peut généralement ressentir une nette amélioration.
La chiropraxie
Vous soigner Autrement
n° siret: 81886404300018
Nom Prénom : Leroy Marie-Hélène
Nom de l'hébergeur : online